La chute du régime Assad pourrait avoir de profondes implications pour l’ensemble du Moyen-Orient, car elle a considérablement modifié la capacité des principaux acteurs géopolitiques – l’Iran, les États-Unis, l’Arabie saoudite, la Turquie, Israël et la Russie – à exercer une influence. Au cours de la discussion de l’Apéro Géopolitique, l’ambassadeur Jean-Daniel Ruch, qui a servi la Suisse en tant qu’ambassadeur en Serbie, en Israël et en Turquie, et qui a également été représentant spécial de la Suisse au Moyen-Orient, l’ambassadeur Brunson McKinley, diplomate au Département d’État, ancien ambassadeur des États-Unis en Haïti, ancien directeur général de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), et le président de la Commission européenne. L’ambassadeur Brunson McKinley, diplomate au Département d’État, ancien ambassadeur des États-Unis en Haïti et ancien directeur général de l’Organisation internationale pour les migrations à l’ONU à Genève, et Hicheme Lehmici, analyste géopolitique spécialisé dans le Moyen-Orient et chargé de cours à l’UMEF, ont répondu aux questions les plus pointues sur les effets globaux des changements en Syrie.